Un paléoanthropologue dans l’entreprise – S’adapter et innover pour survivre
À priori sans lien aucun, l’entreprise et la paléoanthropologie partagent pourtant un terrain de réflexion commun. Cet ouvrage original et brillant, illustré d’exemples historiques et récents, est plongé dans l’actualité économique et financière. Pascal Picq y démontre comment le courant darwiniste de l’évolution peut aider à faire sauter les blocages de l’entreprise en France, prisonnière des vieux réflexes lamarckiens. De Lucy au développement durable, des solutions innovantes et une autre façon de penser sont envisagées. La théorie de l’évolution au secours de la crise entrepreneuriale et économique. À priori sans lien aucun, l’entreprise et la paléoanthropologie partagent pourtant un terrain de réflexion commun. Cet ouvrage original et brillant, illustré d’exemples historiques et récents, est plongé dans l’actualité économique et financière. Pascal Picq y démontre comment le courant darwiniste de l’évolution peut aider à faire sauter les blocages de l’entreprise en France, prisonnière des vieux réflexes lamarckiens. De Lucy au développement durable, des solutions innovantes et une autre façon de penser sont envisagées. Pascal Picq (né le 22 janvier 1954 à Bois-Colombes en France) est paléoanthropologue et maître de conférences au Collège de France où il collabore avec le professeur Yves Coppens. Ses recherches sur l’évolution de l’homme s’intéressent à ses origines comme aux profonds changements anthropologiques en cours. Il est à la fois très engagé dans la diffusion des connaissances en paléoanthropologie et dans les transformations de nos sociétés (Observatoire de l’ubérisation de la société, Institut de la souveraineté numérique, MENE…) sous le regard de l’anthropologie évolutionniste. Il est l’auteur de nombreux ouvrages comme “Au commencement était l’homme”, “Lucy et l’Obscurantisme”, “De Darwin à Lévi-Strauss”, “L’homme est-il un grand singe politique ?” et d’articles scientifiques autour de la question de “qu’est-ce que l’humain ?”.